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 Mission: Rétablir l'ordre (partie 2)

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Bartholomew
Amiral
Bartholomew


Messages : 11
Date d'inscription : 14/12/2009

Mission: Rétablir l'ordre (partie 2) Empty
MessageSujet: Mission: Rétablir l'ordre (partie 2)   Mission: Rétablir l'ordre (partie 2) EmptyDim 31 Jan - 18:39

Bartholomew ayant ramené le capitaine forban capturé à Vacation Island au Centre de détention de la Marine sur Grand Line, on lui accorda du temps libre le temps qu'il passe par la case interrogatoire, qui ne risque pas d'être marrante pour lui. L’Amiral en profita alors pour se prélasser sur un bout de plage privé réservé aux officiers de la Marine. Mais avant tout, il alla bien évidemment se chercher un petit café, et s'allongea sur un transat, chemise déboutonnée et bandeau sur les yeux pour esquiver la lumière du soleil. Malheureusement pour lui, il ne put se détendre bien longtemps. Deux heures plus tard, un soldat vint l'avertir que le corsaire avait cédé sous la pression et autres moyens des interrogateurs, et que le directeur du centre de détention souhaitait le voir dans l'immédiat afin de lui donner les informations récoltées. Il se redressa, se rhabilla un poil, puis entreprit de se rendre dans le bureau du chef de cette prison. Lorsqu'il entra, ce dernier était en pleine conversation via Den Den Mushi, et fit signe à l’Amiral de patienter quelques secondes. Bart s'avança lentement dans la pièce, et se laissa tomber dans un fauteuil suite au geste de son supérieur qui l'y invitait. Après quelques instants, le chef coupa la communication, puis tendit à Bart son ordre de mission.

Citation :
Nom: Rétablir l'ordre (partie II).

Lieu: Grand Line, en mer.

Rang: Pour l’Amiral Bartholomew.

Objectif: Récupérer des informations dans les navires.

Scénario: "Les interrogateurs de la Marine ont fait parler le capitaine pirate
que vous aviez capturé (cf "Rétablir l'ordre partie I"). Selon lui, deux navires corsaires seraient en route pour une réunion de forbans, transportant certains documents
importants. Interceptez les deux bâtiments avant qu'ils n'arrivent à
destination et recherchez toute information se trouvant à bord pouvant
aider à la suite de l'enquête. Après quoi, envoyez les deux navires par
le fond".

Récompense: 1.000.000 B.


Il lui expliqua rapidement la mission, et ajouta qu'il leur rendait un bon coup de main sur l'affaire, et que ce n’était pas tout les jours qu’on pouvait compter sur l’aide d’un Amiral. Par la suite, il invita Bartholomew à disposer et à se mettre en chemin sur le champ. Et c'est ainsi qu'il prit la mer, une fois de plus à la recherche de pirates. A bord, il compta vingt hommes, tous, fin prêts à aborder ces pirates. Selon l'ordre de mission, ils n'étaient pas très loin de leur position, et naviguaient ensemble. Ainsi, ils devraient affronter deux bâtiments en même temps. Mais selon son supérieur direct, ce n'était que de petits équipages, et les deux partis étaient égaux, numériquement parlant. Il leur parla alors de la mission pour les dix soldats qui n'étaient pas là la dernière fois et qui ne connaissaient pas le topo. Par la suite, à la proue du navire, l’Amiral attendit le moment de la rencontre. Il ne fallut pas des siècles pour qu'un matelot s'écrie tout à coup :

- Bâtiments ennemis à deux heures !!
- Maintenez le cap, sortez les canons. Préparez-vous.
- Oui, monsieur !! répondirent-ils tous en chœur.
- Bien...je veux six hommes aux canons, tous du même coté, prenez-les sur un flanc, de manière à s'occuper d'un navire à la fois ! Dix hommes au premier navire, trois avec moi, et un à la barre !

Et enfin les trois navires se trouvèrent en position de parallélisme, selon le plan d'attaque de l’Amiral. Les dix premiers hommes abordèrent avec une rapidité stupéfiante le premier équipage, tandis que les canons battaient au rythme des coups de sabre clinquants. Perché sur le rebord du navire, Bart dégaina son sabre pour sonner la charge, et fit apparaître devant lui un mur de feu afin de parer les quelques balles qui lui étaient gentiment adressées. Il remarqua en baissant la tête qu'un pirate préparait dans une bouteille de rhum une sorte de cocktail explosif, qu'il s'apprêtait à larguer sur le navire de la Marine. Il cria une directive, et un de ses soldats réagit promptement en coupant la main du pirate. La bouteille virevolta une fraction de seconde, avant de s'écraser sur le pont, libérant sa puissance explosive. Un bon trou dans le plancher suivit d'un incendie naissant suivirent cet incident. L’Amiral pressa ses hommes, le temps jouait contre eux. Si jamais ce qu'il cherchait venait à être détruit... Enfin, il ordonna à tous ses hommes d'envahir le bateau adverse, tandis qu'il s'y jetait en personne. Pour le moment, trois Marines tués pour cinq pirates tombés et un manchot. Bartholomew fendit l'air. Et un boiteux. Se ruant dans la bataille, Bart usa d'une bonne vitesse d'action pour parer, esquiver et contre-attaquer sur les assauts corsaires. Il ne restait que cinq pirates sur ce navire, aussi l’Amiral ordonna au reste de ses hommes d'aborder le second bateau. Il interpella le meilleur combattant, et lui attribua la tâche de fouiller tout le second navire à la recherche de documents. Pendant ce temps là, il faisait face aux cinq derniers forbans du premier bâtiment. Ils étaient déjà assez amochés pour la plupart, couverts de suie ou de sang, voire les deux, et haletaient plus ou moins fortement. L’Amiral quant à lui venait de s'impliquer dans la bataille et se trouvait être tout frais pour l'action. D'un coup d'œil il remarqua que ses hommes, sur l'autre navire, s'en sortaient plutôt bien, et avaient réussi à acculer les pirates à la proue du bateau, ce qui était une bonne chose. Il regrettait néanmoins voir certains soldats morts, ou à l'agonie, mais chaque bataille avait son lot de macchabées, et cela en tant qu'officier il le savait. Il ne pouvait se permettre d'avoir des états d'âme en plein combat. Un des pirates qui lui faisaient face leva son pistolet, et lui décocha une balle. Par pur et simple réflexe défensif, Bart se transforma en homme torche et la balle le traversa. Et il engagea enfin le combat au corps à corps, enfonçant les défenses ennemies sur la gauche. D'un coup de pied bien ajusté, il cassa la jambe du premier corsaire à sa portée, si bien qu'il sentit sa jambe toucher le fémur. Ça, ça devait faire drôlement mal. N'étant pas vraiment disposé à tuer délibérément, Bart essaya tant bien que mal de laisser tous les pirates en vie. Un poil trop gentil peut-être. Enfin, toujours est-il qu'il se battait toujours avec les quatre pirates, qu'il repoussa une fois encore. Il saisit alors par la pointe de son épée une lanterne à proximité, et l'envoya s'exploser au sol alors que deux pirates couraient vers lui : ils glissèrent sur le mélange peu stable de cire fondue et d'huile, et se retrouvèrent au sol. Bart en profita pour créer au-dessus d'eux une énorme prison de feu. Il s'adressa alors au deux derniers hors-la-loi.

- Où est votre capitaine ?
- Pas très loin de toi !

Bartholomew regarda aux alentours un moment, mais ne vit personne. Lorsqu'il en revint aux deux nigauds, ils avaient disparus. Il aperçu alors une ombre grandissante à ses pieds, et leva la tête pour les voir, sabre en main, prêts à l'empaler. Ce n'était pas très malin de s'exposer ainsi face à un officier de la Marine. D'un geste du poignet, il les envoya valser par dessus le bord. Au moins, il leur laissait une chance. Ceci étant fait, il se retourna et cria à l'adresse du Marine à qui il avait donné pour mission de rechercher des informations, alors qu'il venait de revenir sur le pont. Ce dernier lui fit comprendre qu'il n'avait rien trouvé, pas même dans la cale du navire. Un bref soupir, et l’Amiral partit explorer le bateau sur lequel il se trouvait, tandis que l'incendie du pont se faisait de plus en plus oppressant. Il parcourait rapidement les couloirs, fouillait toutes les cabines, mais ne trouva rien. Rien, jusque dans la cabine du capitaine, la plus vaste et la plus luxueuse, qui était d'ailleurs vide. Et ceci le préoccupait fortement. Sur deux équipages pirates, il n'y avait pas l'ombre d'un seul capitaine, pourtant, l'un d'entre eux n'était pas très loin selon un pirate...il comprit alors : les deux capitaines devaient se trouver sur l'autre navire. Ses hommes, exténués, ne feraient surement pas le poids. C'est en démarrant au quart de tour que Bart se rua vers le dernier étage qu'il n'avait pas inspecté : la cale. Là, il trouva des tonneaux poudre, de la nourriture, de l'eau, des herbes diverses et...un petit coffre caché dans un coin. Il fit fondre le cadenas, puis entreprit d'ouvrir le coffret. Il y avait dedans plusieurs lettres, ainsi qu'une carte bourrée d'indication. Il avait trouvé. Et soudain, une explosion retentit, alors que le plafond s'effritait au dessus de sa tête : un boulet de canon mal tiré...En baissant les yeux, il crut alors voir une jambe. Contournant un poteau, il découvrit alors une véritable petite cargaison de dix esclaves parqués tout au fond de la cale, enchainés les uns aux autres. Il entreprit de les libérer, les pressants de quitter le navire au plus vite, et ils ne se firent pas prier, se ruant de toutes leurs forces atrophiées vers les escaliers. Après s'être assuré qu'il ne restait plus personne, Bartholomew revint sur le pont au pas de course. Tournant la tête pour dire à son soldat désigné qu'il avait trouvé ce qu'ils cherchaient, ce qu'il vit confirmait ce qu'il avait déduit précédemment : le soldat en question était suspendu au-dessus du sol, embroché sur deux longues lames courbées. Derrière lui, Bart aperçu deux chapeaux noir : les capitaines pirates se montraient enfin. L’Amiral, prit d'un accès soudain de colère, cria alors ses directives aux cinq ou six hommes qui lui restaient après le passage des capitaines.

- Soldats, retournez au navire !! Je m'occupe de ceux-là...

Les trois combattants restants sur le champ de bataille se fixaient longuement et de manière soutenue. Les deux capitaines pirates montraient les dents, de larges sourires déformant leurs immondes visages de barbares. De son coté, Bartholomew arborait une mine de plus en plus froissée par la colère. S'il y a bien une chose qu'il détestait, c'était que l'on s'amuse à taillader, ou plus simplement torturer ses subalternes, et encore moins ses compagnons d'équipage. Et quand les deux corsaires laissèrent tomber au sol le pauvre soldat de la Marine, qui tremblait encore suite à une réaction nerveuse, mais qui était bel et bien mort au vu de ses parties touchées, l’Amiral se rua vers le bord du navire et sauta sur le pont du deuxième bâtiment adverse, effectuant une pirouette aérienne afin de passer au-dessus des deux capitaines, pour finalement se réceptionner derrière eux. Dans le même temps, l'incendie du premier bateau corsaire prenait des proportions inquiétantes, et des explosions entamèrent de l'envoyer lentement mais surement par le fond. Face à ses deux ennemis, Bartholomew se montrait dur, et avait réellement l'intention d'être violent, même si ce genre de comportement ne lui correspondait pas trop. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle il tenta de se calmer, mais il n'en eut guère le temps. Déjà, un des deux hommes le chargeait, prêt à lui découper les jambes. Alors que l’Amiral levait sa lame, prêt à parer, il perçu un léger mouvement dans son dos, tandis que le deuxième forban avait quitté son champ de vision. Il sut alors qu'ils tentaient de le prendre en tenaille, et tout se passa très vite. Bart esquiva les deux coups, les sabres des pirates s'entrechoquèrent, et l’Amiral décida de passer aux choses sérieuses et en retombant, il lança des flèches de feu sur ses adversaires. Résultat des courses, un des capitaines avait l'épaule perforée et brûlée au niveau de la clavicule, tandis que l’autre pirate avait une lésion à son avant-bras, qui saignait. Bartholomew vit alors son propre navire contourner le navire en flammes, qui s'enfonçait désormais dans les profondeurs de l'océan, pour rejoindre celui sur lequel il se battait. Ses hommes étaient sur le pont, fusils en main, pirates bien en joue. Mais l'officier de la Marine leva une main et dit :

- N'intervenez pas, j'en fais mon affaire.
- Tu te surestimes un peu, Officier ! répondit en riant l'un des capitaines.
- Vous n'avez encore rien vu...

Et sur ces mots, Bart aux poings ardents créa un cercle de feu autour des deux capitaines et lui-même. Les deux forbans se mirent à gémir de surprise devant un tel pouvoir, l’Amiral se mit en position de combat, attendant une réaction des deux pirates. Ces derniers étaient paralysés par le pouvoir de l’officier. Il décida donc de prendre les choses en main et d’attaquer. Il s’approcha du premier pirate et lui asséna un coup de pied dans les côtes. Le pirate s’allongea, et le second tenta d’attaquer l’Amiral dans son dos. Mais ce dernier avait tout senti, et en se retournant, lança un direct du droit sur le menton du deuxième forban. A ce moment, les deux pirates étaient dans les vapes. Ainsi, les deux capitaines pirates faisaient moins les marioles. En l'espace d'un unique assaut, Bartholomew leur avait enlevé ce sourire d'assurance de leurs sales faciès. Ils devaient penser que parce qu'ils avaient déboité une partie de ses hommes, ils étaient de taille face à lui. En règle générale, l’Amiral préférait ménager ses pouvoirs venant de son Fruit du Démon, mais dans de telles circonstances, il avait envie de faire mal. Il ordonna aux pirates de se relever, de faire front. Alors qu'ils mettaient du temps à réagir, il sauta jusqu'à leur niveau, et, les deux mains en arrière, quand il arriva à hauteur des pirates il les lança en avant et une sorte d’aigle de feu se dirigea à très grande vitesse sur les deux pirates. Il y eut un cri de douleur déchirant, et l'un des deux corsaires tomba à terre. Bartholomew avait un de ces regards qui témoignent d'une certaine expérience dans le domaine du combat, un de ces regards qui ont déjà vu s'éteindre énormément de vies. Il réitéra alors son ordre.

- J'ai dit, «debout» !

Les deux hors-la-loi se remirent sur pied tant bien que mal, sous le ton menaçant de l'officier de la Marine. Maintenant, Bart aux poings ardents devenait bien plus sérieux, ces deux-là commençaient vraiment à lui taper sur les nerfs. Le premier pirate se rua sur lui, seul. Déjà, leur tactique de combat en duo n'était plus opérationnelle, ils étaient désorientés, sur la fin, et commettaient de graves erreurs de novices. Le forban tenta d'atteindre l’Amiral à la tête. Ce dernier para un coup, deux coups, avec une nonchalance désarmante. Puis, d'un geste sec et vif, il colla la garde de son sabre dans le visage de son adversaire, ce qui lui cassa quelques dents, puis se détourna sur le coté afin de lui décocher un coup de pied circulaire qui acheva de lui décrocher la mâchoire. Celui-ci était hors d'état de nuire. Enfin, il marcha lentement vers le pirate grandement brûlé, qui s'était relevé avec peine. Il s'arrêta pile devant lui, plongeant son regard dur comme le fer dans les yeux bouffis et somnolents du forban. Ce dernier ne bougea pas, et Bartholomew lui asséna un coup de poing si violent qu'il l'envoya se fracasser contre le mât du navire. Il revint encore une fois vers lui, et cette fois le capitaine tenta dans un mouvement lent de lui infliger une blessure. L’Amiral lui prit le poignet, le tordit au poing de le briser, s'empara de la lame de son ennemie, et la lui planta sans ménagement dans l'épaule, si bien que l'épée était solidement fichée dans le bois derrière le pirate. Ce dernier émit un gémissement long et décrescendo. L’officier rengaina enfin son épée, et contempla un moment les deux capitaines, qui à son goût se prenaient un peu trop pour les rockstars des mers. L'un avait un trou dans l'épaule, et la mâchoire refaite, l'autre très grandement brûlé et une épée dans l'épaule qui le maintenait au mât. Charmant comme tout. L’Amiral se détourna, et leur adressa une dernière parole :

- Je vous laisse la vie sauve. Sauvez-vous par vous mêmes ou périssez ici comme les moins que rien que vous êtes. Messieurs, nous rentrons, dit-il à l'adresse de ses hommes, tout en revenant sur son navire de la Marine...
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